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purgatoire

Pourquoi l’homme abandonne t-il ses choix à d’autres? Depuis le temps, il devrait savoir qu’il est chaque fois baisé et un peu plus chaque fois. (unedekeg@10/07/2018)

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Choix du jour : « enfer » ou « paradis »
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dicton du jour :  « pluie du dix juillet, pluie de 7 semaines»
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Oligarchie
pour la seule beauté du pont…..(au pas de Nemours)   http://www.incapabledesetaire.com/oligarchie.html

Je reprend, petit à petit, pied dans la vie claudicante d’un rescapé opératoire. Je vais un peu tirer la jambe quelque temps et dans la mesure de mes capacités j’essaierai de maintenir le contact avec vous, au travers de cette « unedekeg » (et peut-être un nouveau blog supplémentaire, à l’idée duquel je m’attelle. ce sera un peu  « la petite Pravda : La France au filtre de ses chiffres réels« )… avec toutefois une certaine irrégularité, au début (fonction des soins et autres « obligations » que nécessite le suivi de l’opération de hanche. J’espère retrouver le plus vite possible la quotidienneté de cette parution, comme vitesse de croisière

Toute dernière (ou première), pour la route :

en repos, le temps du moundial Russe…. (excepté si une info est plus importante ; mort présidente, présidence morte, attentat stadaire avec des milliers de victimes, déclaration de guerre autre que commerciale, explosion d’arsenaux nucléaires,… avènement officiel du « mais si », mais non…!). Il ne faut pas polluer l’horizon du bon Peuple… On voit le bout du tunnel.

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Françai(se)s quand vous saurez……que :

Demain sera morose ou joyeux selon nos propres ambitions individuelles. Il y a fort à parier que, encore une fois, nous nous laisserons guider vers le mauvais choix (celui des politicards n’est jamais celui de la majorité, c’est à dire le votre. Et vous continuez à les laisser faire…. Dommage…. !

et avec un peu de recul…. :  

 Encore une fois, nous sommes à la croisée de nos chemins. Allons nous continuer à laisser faire les mauvais choix?

se souvenir :

  • Macron aux Indiens: « Ne respectez jamais les règles »! (ce qui est valable pour les Indiens ne le serait pas pour les Français?)

Réactions, à chaud, de KEG sur l’actualité phare de ce jour :

« Celui qui veut trouve les moyens, celui qui ne veut pas trouve les excuses »

La civilisation mondiale deviendra un enfer sur Terre si nous ne choisissons pas un nouveau modèle. Par Nafeez Ahmed

Ô paradis terrestre

le chemin normal étant : Paradis – enfer – Purgatoire – Paradis.

Le passage sur terre, comme son nom l’indique n’étant que la transmutation du vil métal en pierre philosophale paradisiaque… à terme

Ce qui est valable pour le temps des vacances ne pourrait-il être dans la durée?

https://www.france-voyage.com/locations-vacances/photos-location-capesterre-de-marie-galante-89811.htm

 

Le pionnier britannique de l’énergie met en garde contre un avenir incertain tout en soulignant la probabilité croissante d’une « grande transition ».

À la fin de l’année dernière, le Dr Jeremy Leggett – entrepreneur dans le domaine de l’énergie solaire, ancien pétrolier et conseiller du gouvernement – a donné une conférence révélatrice au cours de laquelle, pour la première fois, il a exposé sa vision de deux avenirs possibles pour la société humaine.

S’exprimant à l’occasion d’un événement organisé par le magazine Resurgence & Ecologist, il a déclaré à un auditoire captivé que le monde s’approchait d’un point de rupture majeur, point où nos choix fermeraient rapidement l’un ou l’autre des avenirs possibles. Un de ces scénario promet une transition réussie vers un nouveau type de civilisation, plus évoluée. L’autre annonce la fin de la société d’abondance, le chaos despotique et le conflit.

L’ascension de la civilisation

Le scénario positif de Leggett a commencé par l’évaluation des prévisions en matière de transition vers les énergies renouvelables. Jusqu’à présent, a-t-il noté, la production d’énergie solaire a doublé huit fois en 16 ans, en partant de rien. Malgré cette augmentation exponentielle, le solaire ne fournit encore qu’environ 2 % de l’énergie mondiale.

Mais selon certains prévisionnistes, si ce rythme d’expansion se poursuit – si nous continuons à doubler encore six fois, en seulement 12 ans « vous fournissez toute l’énergie dont le monde a besoin actuellement. Pas l’électricité, l’énergie ».

En faisant appel à un cadre systémique, M. Leggett a ensuite expliqué comment une telle transition énergétique réussie pourrait rapidement transformer de nombreux autres secteurs de nos sociétés, de nos économies et même de notre politique et de notre culture.

La pollution de l’air, principale cause environnementale de mortalité à l’échelle mondiale, commence à chuter très rapidement, ce qui améliore la santé humaine. Cela efface également le « coût économique de la pollution atmosphérique », évalué à environ un « mille milliards de dollars par an » en dépenses de santé, coûts sociaux, journées de travail perdues, etc.

La fin des subventions massives aux carburants fossiles, combinée aux économies en matière de santé environnementale, représente un gain économique important pour les finances publiques. Pour la première fois, les gouvernements retrouvent de la marge de manœuvre budgétaire. Et comme les nouvelles technologies renouvelables, à ce stade, sont désormais nettement moins chères que les combustibles fossiles, d’autres fonds sont mobilisés. Il en résulte que les pouvoirs publics disposent d’une plus grande liberté en matière de dépenses sociales.

Et avec une augmentation ciblée des dépenses sociales, a fait valoir Leggett, vous vous retrouvez avec « une amélioration sociétale de la cohésion et du bien-être », car la grande transition énergétique post-carbone libère des fonds publics pour la santé, l’éducation et d’autres services importants pour les communautés.

Les hameaux, les villes et les agglomérations produisent localement, bouleversant les modèles énergétiques nationaux. Et c’est ainsi que Leggett a soutenu que nous pouvons mettre fin à l’ère des guerres de l’énergie. « Beaucoup, sinon la plupart des guerres des XXe et XXIe siècles portaient sur la maîtrise des ressources », a-t-il dit. Mais, les nations ne dépendant plus, pour leur approvisionnement, d’importations en pétrole et en gaz depuis de lointaines zones de conflit, des opportunités nouvelles se font jour pour un autre type de politique internationale.

Cette nouvelle ère ouvre ainsi la voie à « de nouveaux régimes de sécurité, à une nouvelle génération de traités ». Les gouvernements sont en mesure de négocier des traités plus facilement, ce qui permet d’améliorer encore les relations internationales.

Vers la fin du siècle, nous voyons une société mondiale « à laquelle on peut appliquer le mot renaissance, totalement différente du monde dans lequel nous vivons aujourd’hui. Peu de tensions liées aux ressources. Un monde plus stable et plus sûr. Appelons cette histoire ascension – l’ascension de la civilisation ».

La descente aux enfers sur Terre

Certains éléments de cette histoire positive ont commencé à apparaître, mais le deuxième scénario de Leggett révèle que nous serions bien plus avancés sur la voie de la dystopie.

Dans la deuxième histoire, Leggett envisageait un avenir sombre dans lequel « la technologie évolue beaucoup plus vite que ce que les gens imaginaient », avec des conséquences incontrôlées et des « inconvénients colossaux ». Tout commence, a-t-il suggéré, « avec la technologie de reconnaissance faciale et l’intelligence artificielle ». Il sera bientôt possible de faire « des choses étonnantes pour reconnaître les gens qui vont et viennent dans la rue » – un phénomène qui existe déjà en partie et qui est rapidement adopté par des entreprises comme Facebook et d’autres entreprises utilisant la biométrie. « Il n’y a vraiment pas d’échappatoire. Vous pouvez mettre un chapeau, une écharpe, des lunettes noires. L’intelligence artificielle est si performante sur ce qui reste visible qu’elle peut encore vous identifier avec 70-80 % de chances de succès ».

Leggett a concédé qu’il y avait dans ces avancées technologiques « un fort potentiel pour améliorer la société : soulager le fardeau du travail humain, poser des diagnostics médicaux, etc. La liste est longue. Mais bien sûr, elles peuvent aussi bien être utilisées à mauvais escient. Pour la première fois dans l’histoire des technologies, nous avons des travailleurs qui demandent aux décideurs politiques de réglementer ce qu’ils font ».

Poussant plus loin ces tendances, Leggett décrit un scénario dans lequel le développement rapide de l’intelligence artificielle et de la robotique « intervient alors même que l’extrême droite monte en puissance dans un certain nombre de pays. Elle est déjà arrivée aux portes du pouvoir ; bénéficiant dans les urnes, en dernier recours, des mécontentements dans de nombreux pays. Or cette droite sait utiliser ces technologies, y compris l’intelligence artificielle, pour faire avancer sa cause. Sans doute mieux que n’importe qui dans les autres camps de l’échiquier politique ».

Que se passe-t-il lorsque ces technologies sont de plus en plus utilisées par des « nations non favorables à la démocratie », qui commencent à « s’immiscer dans le processus démocratique à l’échelle de plusieurs pays ? »

La convergence de ces tendances met en évidence le risque de nombreuses incertitudes. Leggett a fait référence au scénario hypothétique suivant, comme exemple de ce que cette voie pourrait signifier pour l’humanité :

« Et puis un jour se produit un terrible incident. Une douzaine d’attaques à travers le monde, par des myriades de petits robots, des drones de la taille de la main – ces petits monstres jouent dans une toute autre catégorie – ils attaquent les défenseurs de la démocratie – politiciens, étudiants, activistes, au travers de 12 attentats à travers le monde. Attaques mortelles. Ils utilisent du venin mortel, des toxines et des engins explosifs. Le nombre de morts se mesure en centaines. »

Il s’agit d’attaques terroristes multiples dans des pays démocratiques clés, qui affolent tout le monde : « Le temps passe, les jours deviennent des semaines, les semaines des mois. La police et les services de sécurité ne trouvent pas de coupable. On pointe du doigt les terroristes religieux ou politiques, les États voyous (cela n’existe pas. Ceux qui y croient font de la conspiration…. C’est bien connu!) et les éléments rebelles au sein des démocraties ».

Et le problème, pour M. Leggett, c’est que dans cet avenir, « des millions de ces appareils sont vendus régulièrement. Et pas besoin d’être ingénieur en aéronautique pour en faire des armes mortelles ».

Leur prolifération incite les gouvernements à prendre d’importantes mesures de répression – « après cela, la surveillance est généralisée. De nombreuses démocraties organisent encore ce qu’elles continuent à appeler des élections, mais les populations vivent dans les mêmes conditions que sous les dictatures. Toute protestation est bâillonnée, y compris celle des activistes identifiés » qui craignent d’être pris pour cible de la même manière.

« Les dernières démocraties glissent, les unes après les autres, pour devenir des États policiers. Certaines gardent un simulacre de vie démocratique, sans toutefois se donner la peine de cacher que les élections sont inopérantes ou truquées. D’autres deviennent des États franchement fascistes : ce sont les fascistes qui remportent les élections. Après quoi ils s’assurent qu’il n’y aura plus d’élections. (pour ce qu’elles servent. (La dernière, en date : Macron élu avec au 1er tour 18% des inscrits et donc avec 82% de Français qui n’en voulaient pas…. )

Cela se termine dans un monde dystopique où les psychopathes se sont hissés au sommet (vous croyez que Macron…. ? Trump je veux bien, mais pas lui… notre sauveur.). Le monde est une scène de chaos dans laquelle les psychopathes et leurs monstrueux ego s’affrontent, menaçant chaque semaine de désastres militaires ; pendant ce temps, tous les autres problèmes perdurent – le monde glisse vers la pollution généralisée et l’insécurité, toujours au bord de la guerre apocalyptique entre des États policiers.

Appelons cela la descente vers ce qui serait un enfer sur Terre. »

Donner un sens à nos avenirs possibles

L’exploration par Leggett de ces deux scénarios – l’un merveilleux, plein d’espoir et enthousiasmant, l’autre épouvantable, effrayant et répugnant – démontre clairement ce qui est en jeu pour l’humanité. Dans la pratique, a-t-il expliqué à son auditoire, il est peu probable que nous suivrons exclusivement l’une ou l’autre de ces voies d’une manière simpliste. Nous voyons déjà que certains éléments de chacune des deux prennent forme sous nos yeux.

Mais à l’heure actuelle, comment ne pas conclure qu’en tant qu’espèce, à bien des égards, la majeure partie de nos activités a dévié sur la mauvaise pente, celle que Leggett décrit comme « l’enfer sur Terre ».

Avec la montée fulgurante de l’extrême droite à travers l’Europe, l’intégration de l’idéologie fasciste dans l’administration Trump, associée à la manipulation du Big Data pour interférer dans les processus démocratiques comme dans le scandale Facebook – Cambridge Analytica, nous voyons clairement que certains éléments de ces avenirs sont déjà présents.

En revanche, la crise du secteur des énergies fossiles continue de s’accélérer à un rythme qui a surpris les industriels. Le mois dernier, M. Leggett a noté que d’ici 2020, l’électricité renouvelable sera moins chère, dans le monde entier, que celle produite à partir de combustibles fossiles. Cette chute massive des prix pousse un nombre croissant de grandes multinationales, d’entreprises et de services publics à passer à une production renouvelable et neutre en carbone, plus de 100 grandes villes du monde entier produisant plus de 70 % de leur électricité à partir d’énergies renouvelables, dont 43 sont alimentées à 100 % par des énergies propres.

« Chaque semaine le message devient de plus en plus clair, pour ceux qui ont des yeux pour voir », écrit Leggett. La transition énergétique mondiale depuis les combustibles fossiles vers l’énergie propre va, à mon avis, beaucoup plus vite que la plupart des gens ne le pensent. (qu’en disent la bible, le Talmud et le coran? Y font-ils référence?)

On a le bonheur à portée de main…
On a le malheur à portée de main….
Que va faire l’homme?
Saura t-il transformer son purgatoire en paradis ou en enfer?
Tout est possible.
A chaque croisée des chemins nous avons le choix et pourquoi l’abandonnons nous à des requins, dont le seul souci est leur ptopre bien-être, au détriment du votre, du notre
Il est peut-être temps de rendre aux peuples leur véritable souveraineté.
Est-ce aux Peuples ou aux politicards (une infime partie dudit peuple) de décider de demain?
Quand oserons nous affirmer notre suprématie sur nos propres vies. Le chemin est long pour reprendre les rênes de nos vies. Raison de plus pour s’y mettre dès maintenant…. Courage!

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….. deux ou trois doigts de « French Touch électorale »? Allez un dernier, sur le pouce pour la route! Cliquer ci-dessous les liens en orangé, dans, « … et pendant ce temps…. », les liens idoines en « French » quelque chose!

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FIN de la une DU JOUR

Je ne suis ni « Charlie », ni « Charlot, quoi que… », ni « bi », mais que « Franco – Français », et que depuis environ 1592…… Avant. C’était avant…..?

Rappel  (pour d’éventuels mauvais coucheurs, autoproclamés « chasseurs à prime de plagiats » de leur soit disant intellectualité, même si copy-ratée d’autrui. Un copyright ajouté sur quelque chose de récupéré n’est pas acte de propriété – cf jugement de référé en date du 20 Février 2018 – TGI de Paris. Heureusement ces autoproclamés sont plus que minoritaires. Précisions, sur ce problème (adressées à la demande) : au coeur des articles, les éléments écrits en bleu (ou noir) et verticaux sont de « keg », ce sont des commentaires (genre explication de texte ou notes personnelles ou d’autrui) et en final la conclusion est en noir vertical.

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Et pendant ce temps……

S’il est possible d’exploiter un esclave un certain temps il finira inévitablement par se rebeller. Pour être en mesure de l’exploiter tout le temps, il doit ignorer sa condition d’esclave. (donne lui un poisson, de temps en temps, mais, surtout, ne lui apprend pas à pécher!)

Cliquer sur des liens (orangés et sans radars), c’est surprise-party pris (et prix libre)! :

En ouvrant les trois documents, ci joints relatifs à

Découvrez-y la si fameuse « French Touch électorale »….., en sous marins!

 

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« L’héritage crucifié » / Message d’outre-tombe / 11 Novembre 2005

héritage en croix (je sais)

On a festoyé un centenaire, il paraît…….. : https://wp.me/p4Im0Q-2ag  (c’est long pour 100 ans – le texte – normal). En étiez-vous ce 11/11/2017 et à quel titre réel et vrai?

La France méprisante vis à vis de ses « Pupilles de la Nation inconnus ». Surtout ne ravivez pas la flamme du mépris. Ils ont déjà eu leur lot jusqu’au dégoût, à la fin de leur vie….. https://wp.me/p4Im0Q-2az . C’est de l’eugénisme d’état à l’étal brut.

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Souvenez-vous, les plus grandes saloperies sont au JO en Juillet et Août, lorsque les Français sont, non dans la rue mais, sur le sable, avant que d’être sur la paille…. Le pouvoir se décide sur le sable des arènes (quelle corrida), Panem et circenses ……
Dont  (cliquer sur chacun des items, ci-dessous, pour accéder aux tableaux d’analyse, sous Word, c’est gratuit et cela peut rapporter gros, en connaissance) :
Quand on fait ses commissions il ne faut pas oublier que la cash-bas héla le pékin

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A l’attention très particulière de la liberté d’expression, voir:

« Il se passerait toujours quelque chose aux galeries Lafayette » d’Orléans …. : http://wp.me/p4Im0Q-1C

(14/05/2017) – Anéantissement et humiliation. La troisième sera unique et certainement la der des der. Enfin….. il aura alors fallut un siècle pour y arriver!

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De grands scientifiques étasuniens confirment un plan américain de conquête de la Russie 

De grands scientifiques étasuniens confirment un plan américain de conquête de la Russie

« Le programme de modernisation des forces nucléaires des États-Unis a été présenté au public, comme un effort pour assurer la fiabilité et la sécurité des têtes nucléaires de l’arsenal nucléaire américain, plutôt que pour améliorer leurs capacités techniques. En réalité, ce programme va utiliser de nouvelles technologies révolutionnaires, qui augmenteront considérablement la capacité de ciblage de l’arsenal américain de missiles balistiques. Cette augmentation de capacité est étonnante. Elle augmente d’un facteur d’environ trois, le pouvoir global de destruction des forces existantes des missiles balistiques américains et cela crée exactement ce à quoi l’on s’attend, si un État possédant le nucléaire prévoyait d’avoir la capacité de combattre et de gagner une guerre nucléaire, en désarmant les ennemis grâce à une première frappe surprise. 

L’étude continue ainsi :

« Parce que les innovations dans les super-fuze apparaissent aux yeux des non-techniciens comme mineures, les décideurs politiques hors du gouvernement des États-Unis (et probablement à l’intérieur du gouvernement) ont complètement négligé leur impact révolutionnaire sur les capacités militaires et leurs importantes implications pour la sécurité mondiale. »

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« Il se passerait toujours quelque chose aux galeries Lafayette » d’Orléans et/ou d’ailleurs. Le dernier avatar comique et miraculeux  : http://wp.me/p4Im0Q-1CO

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Les planificateurs russes considéreront presque certainement cette avancée de la capacité de ciblage, comme augmentant le risque d’une frappe nucléaire préventive de la part des États-Unis – un risque qui obligerait la Russie à préparer des contre-mesures, qui accroîtraient encore le niveau d’alerte, déjà dangereusement élevé, des forces nucléaires russes.

Les auteurs expliquent ensuite pourquoi le départ accidentel de la troisième guerre mondiale, c’est-à-dire un anéantissement mondial, serait plus probable de la part de la Russie que des États-Unis :

« La Russie ne dispose pas d’un système d’alerte précoce satellite fonctionnel, mais repose principalement sur des radars d’alerte précoce, posés au sol pour détecter une attaque de missiles américains. Comme ces radars ne peuvent pas voir plus loin que l’horizon, la Russie dispose de deux fois moins de temps d’alerte précoce que les États-Unis. (Les États-Unis disposent environ de 30 minutes, la Russie 15 minutes ou moins).

En d’autres termes : alors que Trump disposerait d’environ 30 minutes pour déterminer si Poutine a lancé une frappe préventive, Poutine aurait moins de 15 minutes pour déterminer si Trump l’a fait. Et si, au bout de cette période, de chaque côté, il n’y a aucune certitude qu’aucune attaque nucléaire préventive n’a été lancée par l’autre, alors cette personne serait obligée de riposter contre l’autre, en supposant que ne pas le faire aurait non seulement pour résultat une planète toxique condamnée à un hiver nucléaire et une famine universelle, mais aussi une humiliante et scandaleuse absence de représailles contre l’auteur d’un tel acte. Ce qui serait une humiliation en plus d’un anéantissement, et donc un partage de la faute avec le vrai criminel, qui résultera, quelque soit le temps d’existence qui pourrait rester à le vivre, en une honte insupportable et se traduira rapidement en suicide, si les compatriotes survivants de ce pays ne l’exécutent pas avant que lui ne se tue.

Il y a une chance fortement élevée maintenant, qu’une guerre nucléaire mette fin à la vie de tous ceux qui existent actuellement et qui ne mourront pas rapidement de causes ordinaires avant le drame. Même les projections les plus désastreuses des dangers dus au réchauffement climatique sont loin du danger nucléaire.

La question, maintenant, est : comment le monde en est-il arrivé à ce niveau extraordinairement sinistre ?  Mais il est clair que puisque la décision clé, la mise en œuvre des « super-fuze » sur « toutes les ogives placées dans les sous-marins balistiques américains » a été prise par Obama, il est la principale personne responsable de cette situation. Habituellement, dans une telle situation, le dirigeant qui a hérité d’un tel plan serait assassiné, s’il donnait une indication claire de son intention de changer de plan ou de l’annuler (les initiés clés sont généralement obsédés par le « succès », en particulier à une étape aussi tardive ). Et donc, si Trump essayait de le faire, il tenterait presque certainement de cacher ce fait, jusqu’à ce que le plan hérité soit déjà désactivé et ne soit plus une menace.

Le point tournant clé qui a mené à la crise actuelle a été l’acceptation progressive et croissante, du côté américain, de la possibilité d’utiliser l’arme nucléaire pour conquérir, plutôt que seulement pour la dissuasion – L’origine, avant même George W. Bush, remonte au 24 février 1990 lorsque son père, alors également président américain, a secrètement lancé une opération dont le but final est de conquérir la Russie. Dans cet article, se trouvent les liens aux documents-sources sur les origines d’un plan qui nous mènera à une guerre nucléaire de fin du monde. Remonter aux causes originelles de la progression régulière, après le 24 février 1990, dans la direction d’une conquête de la Russie par les États-Unis (assisté de ses alliés) peut maintenant être fait par les historiens, même si ce n’est que maintenant que l’information est finalement révélée au public, 27 ans après la très fatale décision de George Herbert Walker Bush, qui a déjà coûté aux contribuables américains des milliards de dollars, un vrai gaspillage, et dont le résultat risque d’être un anéantissement total.

C’est là que nous en sommes à l’heure actuelle et, depuis le coup d’État en Ukraine en 2014, les achats de bunkers « à l’épreuve du nucléaire » ont augmenté de façon conséquente.

 S’il reste silencieux sur la question, Poutine peut raisonnablement continuer à supposer qu’il devra être le premier à frapper. Il ne s’est pas placé lui-même dans cette position ; le régime étasunien l’aura forcé. Espérons que les États-Unis vont diminuer la menace, dès maintenant.

C’est payer cher pour un enterrement à grandes pompes nucléaires….. Était-ce une fin en soi ou en d’autres? Et si au final on dénucléarisait le monde entier, que ferait t-on de l’at home? Certes la menace liée aux gouvernements disparaîtrait, mais….. la non-utilisation atomique laisserait des stocks à la merci de fous, à des prix abordables, par petites unités.

On a voulu goûter au fruit défendu. On s’ogive maintenant jusqu’à la mort à vie. On va se rendre compte qu’après le paradis (avant et ailleurs), le purgatoire (ici et maintenant), l’enfer existe vraiment (après et sur terre). Plus personne ne pourra en douter.

http://reseauinternational.net/de-grands-scientifiques-etasuniens-confirment-un-plan-americain-de-conquete-de-la-russie/