1767 : Louis Antoine Saint Just (LASJ) se hisse (à la force du poignet et par opportunisme – rien de nouveau par rapport à aujourd’hui, en politique) sous la guillotine
1880 : Préparation de la victoire de la grippe espagnole (le covid n’existant pas encore),sur la personne de GAVAADM (alias Guillaume Apollinaire) qui se prépare au grand reset (de l’époque)
2007 : Raymond Barre dort pour de bon à l’assemblée des morts
entre temps (1880 et 2007), il y eut le Te Deum de Paris du 25 Aout 1944, pour fêter la capitulation libérative de von Choltitz.
Mais cela a nécessité combien de sacrifiés (et pas seulement la libération de Paris, mais la guéguerre amicale franco-allemande)? La patrie, d’alors, reconnaissante (parce que pour ce qu’il en est de nos jours….!) se souvint (c’est toujours facile dans l’allégresse du moment, jamais dans la difficulté….?) des enfants de parents « morts pour la France » (mais attention aux amalgames nauséeux, surtout quand l’on se donne la peine de creuser…. et jamais profond ), alias « Pupilles de la Nation » (version Clemenceau de 1917).
le jeu des questions réponses pour quelques unes (sans le moindre résultat que le sempiternel « copié-collé » de mensonges d’état, depuis juillet 2004) et pendant ce temps les « victimes » crèvent à petit ou long feu. Mais qui êtes vous donc pour prétendre mesurer la souffrance d’un enfant de « héros », morts au combat, les armes à la main, pour défendre la France, son honneur et sa devise républicaine (parmi laquelle, par accident, s’est glissé le mot « ÉGALITÉ ») et qui vient, en solo (sans tambour, ni trompette, ni médias, ni « officiels ») commémorer la mémoire de son père inconnu (puisque mort, soit disant en « héros », 3 mois avant la naissance de son fils, posthume, comme sa citation à l’ordre de la nation, sa médaille commémorative, son grade ..de réserve ……), chaque 22 Août, date anniversaire des combats de Sermesse en Saône et Loire. Il a fallut se « battre » pour que son nom soit apposé sur un monument aux morts et que la mention « mort pour la France » soit inscrite sur ses papiers d’état-civil, plus de 65 ans après les événements! Merci à la France reconnaissante
Non, monsieur Macron, les seuls « Pupilles de la Nation » reconnaissables par le pouvoir ne sont et ne peuvent-être que de « faux Pupilles de la Nation » en vertu de la définition de Clémenceau). Persister c’est reconnaître que ce titre, soit disant de reconnaissance, est devenu un cloaque nauséabond où l’on met tout ce que l’on ne sait caser ailleurs (souvenez-vous de votre premier discours officiel du 14 Juillet 2017). Rien que pour ce mépris des vrais « morts pour la France », fussiez- vous le plus grand président que la France ai connu (ce qui est loin d’être avéré, prouvé et vérifié), vous resterez pour moi et ad vitam un infâme (Ainsi que ceux qui vous ont précédé depuis 2000. Ce dont vous vous foutez, je vous fais confiance sur ce point). Vous eussiez mieux fait de rester l’épouvantail de vos jeunes années (cela vous sied mieux que votre uniforme de parade, un peu trop grand pour vous) au lieu de jouer un jeu dangereux qui détruit le pays.
Le respect ne s’ordonne pas ni ne se légifère et encore moins se décrète, il se mérite …. (par ses actes) !
seul l’uniforme a changé (et ce qui était « supportable » à l’époque par des étrangers, ne l’est plus de nos jours , surtout quand les nouveaux ont remplacé les anciens gestapistes-milicés)
2019
Mantes-la-Jolie, le 6 décembre 2018. Les 151 adolescents interpellés par la police étaient restés plusieurs dizaines de minutes à genoux, mains derrière la tête, dans le jardin de l’Agora. SOURCE
depuis 39/45 rien de changé!
il en est de même pour la « défense de la liberté d’expression », où il ne faut confondre diffusion de mensonges et diffusion d’une réalité avérée, vérifiée et attestée par des tiers. Quand on parle de vérité on ne peut craindre le qualificatif de diffamation….
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A l’attention, très particulière, de la liberté d’expression, voir:
1 - 2 KEG 