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mitard

On est toujours le demi-sel de quelqu’un disait le jockey en son club! Il faut dire qu’il y a des étalons et des coupés…. Il faut, simplement savoir choisir son écurie…. (unedekeg@14/10/2018)

Publié le

Choix du jour : « Macron demi sel de de Gaulle » ou « Macron moitié de Charles et non de Brigitte »
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dicton du jour :  « beaucoup de pluie en octobre, beaucoup de vers en décembre »
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Oligarchie

https://veritasinblogo.wordpress.com/2018/10/11/et-en-finale-les-states-en-stats-de-1960-a/

Toute dernière (ou première), pour la route… :

Surprise, il n’y a pas d’attentats. Pourtant c’est un temps béni… L’intérieur est malade en son extérieur…. Si on peut s’en passer, il y a crainte pour tous les autres mini-stères. D’ici à ce qu’on les surprime,… (et non subprime). Cela s’appelle simplement dictature

Où l’on voit ce qu’il advient quand le chat d’intérieur n’est pas là, les souris dansent sur un volcan à la limite du légal-illégal (ou l’inverse, pour bien marquer la neutralité par rapport à la situation.. par séparation des pouvoirs accordés ou non.)

Le prochain gouvernement va éradiquer…. Quoi? C’est la surprise…. Selon que l’on trouvera ou non un intérieur garni d’attentions (bonnes, cela coule de source élyséenne), l’éradication sera partielle ou totale au point d’éclipser tous les intermédiaires entre riches et gueux…. C’est la lutte de classes!

Et toujours le glyphosate en carburant pour être en marche :  en marche au glyphosate  (Osez cliquer sur ce lien c’est le la dynamique de groupe poly-tics, due à l’absorption continue de désherbants, y compris pour ses pilets!)

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Françai(se)s quand vous saurez……que :

 Macron est et sera toujours demi-sel de de Gaulle. Ce n’est pas moi qui le dit, mais le peuple sans ses chiffrages officiels. Parfois le Peuple est de vain, sans le savoir. Hilarant, non!

et avec un peu de recul…. : 

 On ne peut et cela devrait-être interdit de comparer ce qui n’est pas comparable. C’est comme si vous vouliez comparer Monsieur Madeleine et Vidocq (ce dernier étant actuellement aux abonnés absents. Il doit être aux gogues et pendant ce temps là, Bauveau devient repaire d’intrigants et de maîtres chanteurs… A quoi sert un ministère qui fonctionne sans ministre?

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Réactions, à chaud, de KEG sur l’actualité phare de ce jour :

« Celui qui veut trouve les moyens, celui qui ne veut pas trouve les excuses ». Vous, où vous situez vous….?

 

Macron-De Gaulle: le coup d’Etat ne fait pas le moine

Régis de Castelnau

 

Islamisme : Pour Erdogan un coup d’état (d’éclat) tombé du ...

Erdogan ferait ce qu’il veut,, chez lui. Heureusement chez nous cela est impossible…. du moins était impossible jusqu’à ce que …. l’ordonnance du patron fut devenu lettre de cacher….. ! Mais il est des coups d’éclat légitime et du respect et les coups bas des ripoux de la ripoublique qui mettent le vil peuple en coupe réglée… l’impôt ou l’exil de la société! Il faut suivre…. !

Islamisme : Pour Erdogan un coup d’état (d’éclat) tombé du ciel ! (Avec Note de Bruno Bertez)

 

A l’occasion du 60ème anniversaire de la Ve République, Emmanuel Macron a rendu hommage à son fondateur, Charles de Gaulle. Mais la seule comparaison possible entre les deux hommes repose dans les conditions de leur arrivée au pouvoir.

Emmanuel Macron a donc fait le pèlerinage de Colombey. Sans attendre le mois de novembre et le 47ème anniversaire de la mort du connétable, il a préféré marquer le coup de façon incongrue, avec le 60ème anniversaire de la promulgation de la Constitution de la Ve République. (qu’il s’empresse de ne pas respecter….et il a raison, puisque nous le Peuple n’en avons que faire et que nous laissons faire les représentants du pouvoir au bourbon dans cette voie de non-respect de l’acte unique de la République qu’est  la Constitution. Rien n’est et ne doit être supérieur) Où qu’il soit, en France ou à l’étranger, le président se sent obligé de manifester son aversion pour les Français et de s’en plaindre.

De Collomb à Colombey

Le rituel a été respecté avec une réjouissante inversion en reprochant aux Français de trop se plaindre (s’ils ne s’étaient pas plaints, il ne serait pas là…..Cracher dans la soupe vous fait virer du programme …. souvenez-vous de Pollac!). Inutile de s’attarder sur ce qui relève désormais d’une espèce de routine infantile, mais il serait peut-être effectivement intéressant de revenir sur cet anniversaire, à la fois du retour du général De Gaulle au pouvoir et de l’élaboration et de l’adoption de cette nouvelle Constitution, le 4 octobre 1958.

Technique du coup d’Etat légal

Le premier de ces deux volets est à considérer à l’aune d’un ouvrage que vient de publier, Grey Anderson, un chercheur américain : La guerre civile en France. 1958–1962. Il faut recommander la lecture de cette synthèse impressionnante par sa qualité, sa précision et la connaissance maîtrisée du sujet dont témoigne l’auteur. Il s’étonne de ce refoulé particulier dans la mémoire française des conditions du retour politique du grand homme (qualificatif qui n’ira jamais au petit, au mesquin actuel, à l’insignifiant qui se croit être ce qu’il n’est et ne sera jamais …. un homme d’état) et du rétablissement difficile de la paix civile. Le retour lui-même, même s’il a été juridiquement acté par le vote de confiance du Parlement de la IVème République à son dernier président du conseil, le 1er juin 1958, a souvent été présenté comme le résultat d’un coup d’Etat. Ce qu’il était probablement. L’histoire nous apprend, par exemple avec le 18 brumaire de Bonaparte, que l’absence de violence et une forme juridique à peu près respectée ne permettent pas d’échapper à cette qualification.

A lire aussi: 60 ans de la Ve République: et le referendum, on l’oublie?

Entre autres impuissances rédhibitoires, le système IVème République était incapable d’affronter la décolonisation en général et la tragédie algérienne en particulier. Le contexte géopolitique était celui de la guerre froide, encore très vive cinq ans après la mort de Staline. Le contexte national était celui d’un pouvoir politique faible et facilement capitulard, dont la SFIO – ancêtre du parti socialiste – était la quintessence, avec en face de lui une armée en crise.

La rébellion algérienne fut perçue comme l’occasion de redorer le blason en gagnant une guerre en n’en voyant que les termes militaires techniques sans mesurer la dimension politique, et surtout historique, de l’insurrection. Encore largement pétainistes, et anticommunistes, de jeunes officiers, se piquant d’avoir étudié Mao et Ho Chi Minh, se prirent pour les chevaliers de l’Occident. Aveuglement qui, au nom du maintien de l’Algérie dans la France, fit imposer à la population musulmane une brutalité sans règle, et engager l’armée sur des voies directement politiques. Au mois de mai 1958, l’armée supplantera les pouvoirs administratifs en Algérie et les plus activistes prépareront le renouvellement de l’opération en métropole. Beaucoup des partisans du général De Gaulle avaient fait croire aux officiers factieux que celui-ci les soutenait, ce qu’il s’était bien gardé de faire directement. Se tournant au contraire vers le pouvoir républicain, il se présenta comme le seul capable d’éviter le coup d’Etat. Mais à ses conditions bien sûr, c’est-à-dire de disposer des manettes et d’imposer sa Constitution. (de Gaulle instigateur du putsch….. Génial)

De Gaulle, un coup d’Etat légitime

Ce qui fut fait. Les quatre années suivantes furent utilisées pour solder l’aventure algérienne, casser les reins d’une armée devenue inutile, la remplacer par l’outil adapté à la dissuasion nucléaire et rationaliser le développement économique, fruit des Trente glorieuses. Charles de Gaulle avait des atouts pour réussir cette opération virtuose. En plus de sa formidable intelligence politique, il disposait, quoi qu’on en dise, de la légitimité construite entre le 18 juin 1940 et le 30 juillet 1946.

Juppé décalé

Qu’en est-il d’Emmanuel Macron, qui essaie maladroitement de mettre ses pas dans ceux du grand homme ? Son arrivée au pouvoir, dont il est difficile de contester qu’elle soit le fruit d’une opération rondement menée (18% des inscrits n’est pas un score à la de Gaulle, juste un score d’ortie aux nages…. inférieur même au quart de la population appelée aux armes – électorales – devenues ensuite larmes électorales, n’en déplaise à l’usurpateur qui ne s’est appuyé que sur 12 millions de froussards au second tour pour asseoir son usurpation avec l’aide des traîtres au peuple qui ont retourné leur veste après avoir martelé à leurs électeurs que la vérité d’alors était celle de leur parti! de Gaulle 37,40% – Macron 18,19%. Quoi qu’il fasse il sera toujours une demi-portion d’avorton, juste bon aux alcôves, sans plus) a abouti à une sorte de hold-up démocratique qui présente, lui aussi, les caractéristiques d’un coup d’État. Développons l’hypothèse.

pays Presidentiel – France,. (oser cliquer… Attention, après cela, vous ne vous regarderez plus de la même façon!)

L’arrivée au pouvoir de François Hollande, candidat par défaut, fut d’abord le fruit du rejet de Nicolas Sarkozy. La présidence Hollande présentant rapidement le double défaut d’être une catastrophe politique et un moteur puissant pour la montée du Front national, et la défaite socialiste à la présidentielle apparaissant inéluctable, il fallut trouver une solution. Les élites portèrent leur choix dans un premier temps sur Alain Juppé, ravi que la supériorité intellectuelle qu’il s’attribue soit reconnue. La caste de la haute fonction publique d’État, et notamment celle qui est confortablement installée dans le bunker de Bercy, imagina alors de le flanquer de l’un des leurs, de préférence jeune et propre sur lui (mais sous lui?), avec une bonne tête de successeur.

Macron l’héritier

Le choix se porta sur Emmanuel Macron qui présentait l’avantage d’être un parfait inconnu, et de n’avoir jusqu’alors rien fait dans la vie. Son CV est quand même étonnamment désert d’activités qui auraient pu lui donner un minimum d’expérience de la vie sociale ou politique du pays dans lequel il vit. Études secondaires dans une bulle privilégiée, études supérieures, quoi qu’on en raconte sans grand relief, cursus de haut fonctionnaire pantoufleur parti rapidement faire l’entremetteur chez Rothschild.

Il faut tuer le soldat Fillon

La campagne électorale sera marquée par la destruction judiciaire de la candidature de François Fillon au travers d’une opération aussi parfaitement calculée que réalisée.

Emmanuel Macron plafonnait à l’étiage habituel des candidats centristes à l’élection présidentielle, le raid judiciaire lui a permis de récupérer dans l’électorat de François Fillon les voix lui permettant de passer de justesse devant lui au premier tour. On ne s’étendra pas non plus sur le soutien unanime des médias nationaux à la candidature d’Emmanuel Macron, chacun a en mémoire le déferlement des spasmes d’adoration qui remplissaient les émissions de télévision et les gazettes. Il faut cependant rappeler que ce soutien a probablement été accompli en violation des règles instaurées depuis la loi de 1990 sur le financement de la vie politique, sans que cela arrache la moindre remarque au CSA et à la Commission nationale des Comptes de Campagne, instances de contrôle (mais guère au delà…. Une commission de complaisance puisque sans possibilités que celle de dire et non faire!) dirigées là aussi par des hauts fonctionnaires. Les sommets seront atteints par les silences obstinés du Parquet national financier devant le nombre d’infractions de droit pénal électoral portées à sa connaissance.

Un an seulement

Grâce à la stratégie du barrage au FN, et à une abstention massive, la France s’est trouvée ainsi dotée d’un président de la République parfaitement inconnu, sorti de nulle part, et à qui l’élection partiellement entachée de fraude donnait une légitimité faible. Pour avoir suivi en détail tout ce processus et en particulier l’opération judiciaire dont j’appréhende tous les détails, je considère que cette présentation et ce constat ne sont pas factuellement contestables. J’ai toujours eu cependant la surprise de me heurter à un surprenant déni, parfois véhément, souvent assorti par les imbéciles de l’accusation de complotisme. Comme si, après le calamiteux mandat de Hollande, l’envie de faire confiance au jeune roi amenait à refouler et conjurer cette tare initiale dans son avènement. Le problème est que l’opinion publique a découvert la réalité de la personnalité de son nouveau président jusque-là inconnu. Au-delà de l’amateurisme politique parfois confondant, des traits de caractère inquiétants sont apparus. Narcissisme, instabilité, tendance aux caprices, désinvolture méprisante, et fascinations surprenantes brossent le portrait d’un homme à qui il n’est pas possible de raisonnablement faire confiance. Et c’est là que le déficit criant de légitimité juridique et politique initiale revient en force et peut devenir insurmontable (les chiffres sont cruellement accusateurs. Le Ban électoral – Blanc, Abstention, nul – est révélateur : 1965 = 16,10% des inscrits au 1er tour et 2017 = 22,23%, déjà le vert a pourri l’idée de l’intérieur et en profondeur. La fin de règne ne sera que de compositions en décompositions. Hélas, elle va être longue, à moins que le peuple pratique l’exercice légal de l’article 21 du préambule de la Constitution, avec armes et bagages. Mais,quand je vois ce qui se passe, je doute…. y compris de moi-même qui me content de râler, sans plus. Je ne suis pas leader et n’en ai nullement l’étoffe… Je regrette). Les difficultés qu’il rencontre dans la conduite de l’État et la violence des mises en cause dont il est l’objet en sont à mon sens le symptôme, comme si la rage qui s’exprime à chacun de ses manquements, chacune de ses foucades était le fruit du sentiment de s’être fait avoir. Et sur ce point, on voit mal comment il pourrait échapper au sentiment d’imposture qu’il provoque.

Quoi que lui-même et ses soutiens les plus niais essaient de nous faire croire, il n’a non seulement pas l’étoffe de l’homme d’État qu’il devrait être, mais la comparaison avec De Gaulle est simplement ridicule. Le problème est que nous sommes en début de mandat et qu’il est impossible, pour l’instant, d’apercevoir la moindre perspective politique. (il en sera de même à la fin. Présider ce n’est pas être arrogant, blessant, assassin, méprisant, moulinettiste, fanfaron, insultant, cavaleur au plus offrant. Quand on n’est pas capable de remplacer, au pied levé un ministre – fut ce à un mini-stère important, on se démet, car cela signifie que personne ne lui fait confiance. Celui qu’il désignera sera un nullard arriviste et carriériste…

Il est à craindre que nous gardions encore un moment ce président-boulet. Avec Alain Juppé Premier ministre ?

 

Promis, en 2022, je ne voterai Macron. Une passade va mais deux, cela devient de la la provocation…. D’autant que la dernière dame de France sera canonique (je parle de l’âge et non de la vertu…. , car à bien y réfléchir il aurait pu se faire qu’il y eut eu un détournement…..! ). Je suis un salaud de votant blanc!

Le spectacle affligeant de la maîtresse reprenant un élève turbulent nous fait dire « quand un président obéit à sa maîtresse, c’est à se demander qui est président et qui est élève et par forcément au pines-acles). Il faut toutefois reconnaître que le bonnet d’ANE (anagramme de ENA) lui va à ravir en relation sadose massive….

On peut-être curé (de la trine), cela n’en fait pas un moine (anti Peuple). On ne devient pas pro peuple, on l’est ou on ne l’est pas! Et cela ne s’apprend pas dans les abécédaires d’enamoncul…. Il est des tares incurables… Mais une fois que l’on a mis la tare au pouvoir, il ne faut pas s’étonner lorsque l’on reconnaît (enfin, mais malheureusement trop tardivement que la tare ne fait pas le poids… C’est tout jute un facteur aggravant de notre connerie électorale. Il est des conneries que l’on paie de 1826 jours de mitard….. dont on sort pour une perm de 15 minutes, histoire de se sentir libre de se choisir un nouveau maton, parfois le même, pour replonger à nouveau au mitard de 1826 jours).  Notre seule force, croyons nous, est cette illusion de peser sur le destin d’un homme dont la seule capacité est le mépris à notre égard…

Cela devient une insulte à la mémoire de de Gaulle que de faire une comparaison impossible. Quoique fasse Macron, il n’arrivera jamais à la cheville du grand Homme. Il ne peut y avoir qu’un seul de Gaulle, tout comme il n’y peut y avoir qu’un seul Macron. Des copies peuvent apparaître,, mais quoi qu’elles fassent , elles ne s’élèveront pas au dessus des 18%. Il est à craindre qu’à l’avenir elles fassent encore moins…. On en reparlera. L’image lui collera à la peau comme une fleur de flétrissure (et non de Lys) gravée au fer rouge dans la peau, son matricule :  « Monsieur 18% »

19 000 jours séparent deux extrêmes : la grandeur de Gaulle, la minusculité Macron…. On ne peut rien faire… A quand la déchéance nationale pour le second? Faudra-t-il attendre sa retraite comme pour Pétain?

 

 

https://www.causeur.fr/macron-de-gaulle-coup-etat-2-155081

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Le macron ne sert qu’à accentuer…. (les preuves, chaque jour qui passe ou ne passe pas)

FIN de la une DU JOUR

Je ne suis ni « Charlie », ni « Charlot, quoi que… », ni « bi », mais que « Franco – Français », et que depuis environ 1592…… Avant. C’était avant…..?

Le macron ‹ ◌̄ › est un diacritique de plusieurs alphabets : latin, grec et cyrillique. Il prend la forme d’une barre horizontale que l’on place le plus souvent au-dessus d’une voyelle. Son principal rôle est d’indiquer que le signe qui le porte reçoit une quantité vocalique (et non votative) longue ; il s’oppose en cela à la brève ‹ ◌̆ ›. (cela promet)

Il est aussi utilisé pour modifier la valeur de certaines consonnes comme l̄, m̄, n̄, r̄, v̄, ȳ dans l’écriture de quelques langues, ou d’autres consonnes comme dans certaines translittérations. Le macron se retrouve aussi au-dessous de certaines lettres modifiant ainsi leur son, où on l’appelle macron souscrit ou ligne souscrite. ( https://fr.wikipedia.org/wiki/Macron_(diacritique))

se souvenir :

Macron aux Indiens: « Pour réussir, ne respectez jamais les règles …. »! (ce qui est valable pour les Indiens ne le serait pas pour les Français?)

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Rappel  (pour d’éventuels mauvais coucheurs, autoproclamés « chasseurs à prime de plagiats » de leur soit disant intellectualité, même si copy-ratée d’autrui. Un copyright ajouté sur quelque chose de récupéré n’est pas acte de propriété – cf jugement de référé en date du 20 Février 2018 – TGI de Paris. Heureusement ces autoproclamés sont plus que minoritaires. Précisions, sur ce problème (adressées à la demande) : au cœur des articles, les éléments écrits en bleu (ou noir) et verticaux sont de « keg », ce sont des commentaires (genre explication de texte ou notes personnelles ou d’autrui) et en final la conclusion est en noir vertical. (C’est en fin de compte mon journal de bord personnel sur telle ou telle actualité)

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Et pendant ce temps……

S’il est possible d’exploiter un esclave un certain temps il finira inévitablement par se rebeller. Pour être en mesure de l’exploiter tout le temps, il doit ignorer sa condition d’esclave. (donne lui un poisson, de temps en temps, mais, surtout, ne lui apprend pas à pécher!)

Cliquer sur des liens (orangés et sans radars), c’est surprise-party pris (et prix libre)! :

En ouvrant les trois documents, ci joints relatifs à

Découvrez-y la si fameuse « French Touch électorale »….., en sous marins!

….. deux ou trois doigts de « French Touch électorale »? Allez un dernier, sur le pouce pour la route! Cliquer ci-dessous les liens en orangé, dans, « … et pendant ce temps…. », les liens idoines en « French » quelque chose!

 

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« L’héritage crucifié » / Message d’outre-tombe / 11 Novembre 2005

héritage en croix (je sais)

On a festoyé un centenaire, il paraît…….. : https://wp.me/p4Im0Q-2ag  (c’est long pour 100 ans – le texte – normal). En étiez-vous ce 11/11/2017 et à quel titre réel et vrai?

La France méprisante vis à vis de ses « Pupilles de la Nation inconnus ». Surtout ne ravivez pas la flamme du mépris. Ils ont déjà eu leur lot jusqu’au dégoût, à la fin de leur vie….. https://wp.me/p4Im0Q-2az . C’est de l’eugénisme d’état à l’étal brut.

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Souvenez-vous, les plus grandes saloperies sont au JO en Juillet et Août, lorsque les Français sont, non dans la rue mais, sur le sable, avant que d’être sur la paille…. Le pouvoir se décide sur le sable des arènes (quelle corrida), Panem et circenses ……
Dont  (cliquer sur chacun des items, ci-dessous, pour accéder aux tableaux d’analyse, sous Word, c’est gratuit et cela peut rapporter gros, en connaissance) :
Quand on fait ses commissions il ne faut pas oublier que la cash-bas héla le pékin

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A l’attention très particulière de la liberté d’expression, voir:

« Il se passerait toujours quelque chose aux galeries Lafayette » d’Orléans …. : http://wp.me/p4Im0Q-