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Fillon vs MLP

En campagne qu’est le plus important : le programme ou son porteur? De quoi ont, réellement, besoin les Français? Et si au nom du présupposé, ils rataient l’essentiel… (by keg – 10/02/2017)

Publié le

Le choix du jour : «Fillon-personne» ou  «Fillon-programme»

  Je ne suis ni « Charlie », ni « Charlot, quoi que… », ni « bi », mais que « Franco – Français »

 

Dernière nouvelle : Mondialisation et identité nationale : Marine Le Pen revient aux fondamentaux du FN pour lancer sa campagne. (la belle « neutralité des journalistes-aboyeurs mise en scène à la TV. Même si MLP n’est pas ma tasse de Taizé vous et personne ne m’empêchera de dire l’objectivité!)


je ne voterai pas pour mes bourreaux. La révolte d’un « pupille de la Nation non juif », trop con pour apprécier le bonheur promis par des-put-a-tifs (ne parlons pas des chauves)   (en abrégé : http://wp.me/p4Im0Q-1sO)

Français quand vous saurez……que :

Vouloir justifier est larme des fautifs! Qu’est le plus important, le programme ou le porteur? A trop se disperser Fillon perd son élection. Non que je la souhaite (je  voterai blanc) mais sur la simple observation des stratégies et des défauts des cuirasses. Un homme fort ne s’arrête pas aux chausse-trappes de ses « amis » politiques

….. et avec un peu de recul….

Quand la politique fait du lynchage sélectif…. Du danger d’utiliser certains concepts, sans vérifier que l’on ne peut faire l’objet d’un retour de manivelle….

Pourquoi Fillon cherche t-il à justifier…? Celui qui n’a strictement rien à se reprocher, ne devrait pas s’arrêter et bouffer de l’énergie à prouver que… , au détriment de son programme qui en sera illisible, en final. Et là est le danger. Toute l’énergie gaspillée actuellement fera défaut en final!

…..

Réactions, à chaud, de KEG sur l’actualité phare de ce jour :

Lynchage de Fillon: la France est-elle encore une démocratie?  –  Non au gouvernement des juges et des médias

Le lynchage médiatique de François Fillon et l’écho qu’il semble rencontrer dans l’opinion montrent à quel point le système politico-médiatico-judiciaire tombe en déliquescence. Mise à mal par le gouvernement des juges et des médias la démocratie représentative est en danger

francois fillon penelope juges medias

Affiche de campagne de François Fillon, Conde-sur-Vesgre, janvier 2017. SIPA. 00788995_000005

Jusqu’à une date récente, le lynchage médiatique était plutôt une spécialité anglo-saxonne. La presse française pouvait s’honorer d’être plus mesurée et plus équilibrée que ses consœurs britanniques ou américaines. Mais l’arrivée d’Internet, des réseaux sociaux, des chaînes d’informations permanentes, a bouleversé le paysage médiatique partout dans le monde. La France n’y échappe pas.

Il est stupéfiant de constater la façon dont certaines des allégations sorties par Le Canard enchaîné et Médiapart sont reprises en boucle par presque tous les médias. Ces affirmations sont totalement à charge et peu de rédactions osent donner des arguments à décharge, alors que ceux-ci existent et sont d’importance. Il est encore plus stupéfiant de constater que la justice s’est emparée de cette affaire alors que rien ne justifie qu’elle le fasse.

Quelles sont les accusations formulées ? François Fillon aurait employé son épouse et deux de ses enfants au cours de ses mandats successifs de député puis de sénateur. Et ces emplois ne seraient pas réels mais fictifs.

Collaborateur parlementaire, tout un métier

Quels sont les journalistes qui ont étudié la loi concernant le statut et les fonctions des collaborateurs parlementaires ? Quels sont les journalistes qui ont rapporté à leurs lecteurs ces éléments de base permettant de se faire une opinion éclairée sur les allégations formulées par les accusateurs ? Quasiment aucun ! Ce qui montre la partialité de la majorité des organes de presse et leur absence éhontée de déontologie !

Alors rappelons la loi telle qu’elle existe. Chaque député dispose d’un crédit mensuel forfaitaire de 9.561 € lui permettant de recruter et rémunérer jusqu’à cinq collaborateurs. Quant au sénateur, il dispose d’un crédit de 7.593 € pour la rémunération, lui aussi, d’un maximum de cinq collaborateurs. Pour la simplicité du propos, je me limite ci-après au seul cas des députés.

Chacun des députés a la qualité d’employeur. Le collaborateur est le salarié du député, non celui de l’Assemblée nationale. (qui paie les charges patronales de quelques 5 000€ et d’on viennent ces quelques 14 000€ bruts alloués à cette fonction d’assistanat? A ce titre le député se doit de rendre des comptes à la nation et surtout au peuple…en vertu de la constitution et de son préambule. C’est de l’argent public qui n’appartient nullement au parlementaire)  Les collaborateurs sont recrutés sur la base d’un contrat de travail de droit privé. Le député recrute librement ses collaborateurs, licencie, fixe les conditions de travail et le salaire de son personnel, dans le respect des dispositions du code du travail. Les contrats de travail comportent deux stipulations directement liées au mode de gestion du crédit collaborateur.

  • La première, relative à l’objet du contrat, dispose que « le député-employeur, agissant pour son compte personnel, engage le salarié qui lui est juridiquement et directement subordonné et a toute sa confiance pour l’assister dans l’exercice de son mandat parlementaire ».
  • La seconde précise que « la cessation, pour quelque cause que ce soit, du mandat du député-employeur constitue une juste cause de rupture automatique du contrat ».

Depuis 1978, des indemnités de fin de contrat, financées par l’Assemblée nationale,  sont allouées aux collaborateurs en cas de cessation du mandat du député-employeur (ce qui justifie les indemnités – qualifiées de « licenciement » par le Canard enchaîné – perçues deux fois par Pénélope Fillon).

La fiction des emplois fictifs

Certains prétendent qu’il s’agirait d’emplois fictifs. Dès lors que les contrats de travail et les feuilles de paie existent en bonne et due forme – ce qui semble être le cas – il ne peut pas y avoir emploi fictif puisque la seule personne à pouvoir juger et contrôler le contenu et la valeur du travail effectué est le parlementaire lui-même. Imagine-t-on la justice intervenir dans une entreprise pour vérifier la réalité du travail d’un de ses salariés ? Seul l’employeur (pour le parlementaire, l’employeur est le payeur et non le dit parlementaire qui n’est que représentant du peuple… et pas seulement pour les décisions à voter, mais aussi dans les moyens mis en oeuvre grâce au peuple pour effectuer sa mission) a qualité pour le faire.

On reproche à François Fillon de ne pas apporter de preuves du travail réel effectué par Pénélope. Peut-être en a-t-il d’ailleurs fourni à la justice. Mais en tout état de cause, comment prouver qu’on a préparé un discours du député, qu’on l’a corrigé à plusieurs reprises, qu’on a préparé les réponses aux nombreux courriers des administrés, qu’on a mené un travail de réflexion ou de recherche sur un sujet donné (et bien souvent à quoi sert le secrétariat parlementaire payé par les chambres, au service du parlementaire, sans parler de l’intercommunication du secrétariat lié aux éventuels cumuls de mandats?)?

Paul Valéry affirmait à juste titre : « Le mensonge et la crédulité s’accouplent et engendrent l’opinion ». Samuel Butler, cet écrivain britannique du XIXe siècle : « Le meilleur menteur est celui qui fait servir le même mensonge le plus longtemps possible ».

L’opinion sous influence

Pourquoi cette affaire sort-elle précisément en janvier 2017 alors que les faits reprochés remontent à plusieurs années ? Pourquoi la justice s’en empare-t-elle avec une telle diligence ? Quel objectif cherchent à atteindre ceux qui ont manipulé et fabriqué l’opinion, ceux qui l’ont mise sous tutelle (peut-être pour démontrer qu’il faut utiliser avec intelligence l’intégrité gaullienne et que seuls qui s’en référent, dans les pratiques personnelles, peuvent s’en revendiquer. C’est l‘habituel arroseur arrosé! Les donneurs de leçon pourraient peut-être veiller à nettoyer la merde chez eux avant de dénoncer celle de chez les autres.)?

La réponse est évidente. Dans un premier temps, il s’agit de faire baisser François Fillon dans les sondages et dans les intentions de vote pour arriver au constat que le candidat de la droite et du centre ne sera pas qualifié pour le second tour de l’élection présidentielle. L’objectif suivant étant de l’obliger, sous la pression des mauvais sondages, à renoncer à se présenter à l’élection pour laisser le champ libre au duel rêvé par les médias – entre Marine Le Pen et Emmanuel Macron (ce dernier est d’ailleurs une pure fabrication du système médiatique). Dès que l’objectif sera atteint, la presse cessera de s’intéresser au cas de François Fillon. Le « PénélopeGate » disparaîtra immédiatement des radars médiatiques (qui et quoi prendra le relais….? Macron et ses financements au cultes?).

Concernant la justice, notons que c’est le parquet national financier (PNF) qui s’est autosaisi de l’affaire, 24 heures seulement après les révélations du Canard enchaîné. Le PNF, présenté comme « autonome », a été installé par le gouvernement socialiste le 6 décembre 2013, et son procureur, la magistrate Éliane Houlette – une proche de Ségolène Royal – a été choisie et nommée à la discrétion de François Hollande.

La démocratie confisquée

François Fillon risque d’être la dernière victime en date de cette presse uniquement motivée par la réussite des lynchages médiatiques qu’elle met en œuvre. Dans la série des assassinats politiques, il succédera ainsi à

  • Jacques Chaban-Delmas (l’affaire de sa feuille de paye et de l’avoir fiscal),
  • Valéry Giscard d’Estaing (l’affaire des diamants de Bokassa),
  • Pierre Bérégovoy (l’affaire de son prêt à taux zéro qui le conduira au suicide),
  • Dominique Baudis,
  • Michèle Alliot-Marie
  • Nicolas Sarkozy.

À propos de l’action du PNF dans l’affaire Fillon, un ancien juge interrogé par Valeurs actuelles dénonce une « très belle opération de déstabilisation » et « un coup d’État de droit ! ». Il ajoute : « Ces officines pensent qu’elles peuvent disqualifier un candidat à la présidentielle, c’est extrêmement choquant. » Dans le même journal, un ancien ministre s’indigne : « Pour la première fois dans l’histoire de la Ve République, on a créé un “cabinet noir légal” au service de l’exécutif. »

La question est désormais simple : sommes-nous en train de glisser vers une dictature des médias et des juges, auquel cas la démocratie représentative serait en grand danger (mais elle l’est déjà dans ses modes de fonctionnement dénaturés et manipulations électorales avec des règles n’ayant plus rien )à voir avec la démocratie qui ne devrait être que proportionnalité absolue – les conseils territoriaux accordant 50% des places aux gagnants du 1er tour, c’est museler l’opposition qui ne joue plus que la figuration, même pas intelligente, malgré ses efforts notables)! Notre démocratie, qui donne au peuple le pouvoir ultime, va-t-elle être confisquée par ceux qui se prétendent être ses défenseurs, à savoir les juges et les médias ?

Quatre millions et demi de Français (mais 4 millions, ce n’est pas l’électorat et encore moins la France. personne ne parle des 41 millions qui, apparemment s’opposent) se sont déplacés au mois de novembre dernier pour désigner – à une très large majorité – François Fillon comme candidat de la droite et du centre à la prochaine élection présidentielle. Ils ont voté pour un programme (à peine la primaire finie, ledit programme change, malgré le choix de 4 millions d’électeurs. En extrapolant pour l’officielle ce sera « primaire mois » pour se faire élire, qui deviendra dans la réalité « primaire moins, moins ». C’est sur le changement c’est pour demain, comme en 2012, en 2007, 2002 et avant. En attendant, rien de nouveau sous le ciel politicard) et ils ont voté pour l’homme en capacité de le mener à bien. Si cet homme devait se trouver dans l’impossibilité de poursuivre sa candidature, le peuple français vivrait alors un véritable déni de démocratie. (C’est vite dit. Le déni de démocratie ne date pas d »‘aujourd’hui. Si on regarde dans le rétro, il est général pour tous les conducteurs du char de l’état qui s’ingénient à écraser sur les clous)

Le risque, après toute cette affaire, c’est de faire le jeu de Marine Le Pen au second tour de l’élection, en amenant tous les électeurs qui se seront fait confisquer leur élection par le retrait forcé de François Fillon, à voter en masse pour elle. Dès lors, bonjour le destin de la France 

 

Les 4 millions d’électeurs de Fillon ne seraient donc en réalité que des électeurs en peur de la Marine nationale….. Alors qu’elle valeur a donc l’élimination des crapules de seconde zone que seraient Juppé et sarko? Fillon, au départ aurait été élu grâce au fameux « tout sauf » alors que ce toutsaufisme était détourné de sa véritable  cible. N’est-ce pas le danger lié à son « élection-éviction »?

 

http://www.causeur.fr/lynchage-francois-fillon-juges-medias-42575.html

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Et pendant ce temps……

« Celui qui veut trouve les moyens, celui qui ne veut pas trouve les excuses »

Pour votre « marché matinal aux nouvelles fraîches », les articles en « Une » des principaux médias retenus!

bleu (sans ‘(*) ») dans le texte d’origine est déjà une façon de répondre, partiellement au sujet de ce texte….
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« (*) » : veut dire que c’est une coquille voulue et/ou une liberté de langage ……ou une tentative de jeu de mots?
Ajoutez un peu de pâte-a-physique et une poignée de sel…j’aime. Faire revenir dans une noix de beurre rance et vous aurez votre recette du jour. A déguster chaude, la patate! Un peu d’irraison ne peut faire de mal.
dès 2017, un dictionnaire bilingue sortira pour mieux comprendre l’esprit « kegien (*) » ‘ ! Exercez-vous –:
GrosMots kegiens Février2016

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Viol présumé de Théo par un policier : les deux versions qui s’affrontent

Viol présumé de Théo par un policier : les deux versions qui s'affrontent
Capture d’écran de la vidéo montrant l’agression de Théo par des policiers. (Capture d’écran/L’Obs)

Alors qu’un rapport provisoire de l’IGPN privilégie le « caractère non intentionnel » du geste du policier mis en examen pour viol sur Théo, « l’Obs » met les deux versions en parallèle.

 

Jeudi 2 février, un peu avant 17 heures, ce qui aurait dû être un banal contrôle d’identité tourne au drame à Aulnay-sous-Bois. Depuis la très violente interpellation de Théo, un jeune âgé homme de 22 ans, la situation reste tendue en Seine-Saint-Denis. L’intervention qui a dramatiquement dérapé a été filmée par des caméras de vidéosurveillance mais aussi par des témoins.

Une matraque enfoncée dans son anus a très grièvement blessé Théo, occasionnant une déchirure anale de 10 centimètres. Hospitalisé, le jeune homme s’est vu prescrire 60 jours d’incapacité totale de travail (ITT) et a dû être opéré.

Alors que la victime affirme avoir subi un acte volontaire, l’Inspection générale de la police nationale (IGPN) affirme dans un rapport provisoire transmis à la justice qu’elle retient « le caractère non intentionnel » du geste du policier. Ce dernier a été mis en examen pour viol et ses trois collègues pour violences volontaires en réunion.

Sur le parvis du centre culturel du Cap

La version de Théo

L’intervention vire alors au pugilat. Un des policiers demande à Théo ce qu’il va faire, « d’un ton provocateur ». Il ne répond pas. Un autre tient le groupe à distance pendant que les trois autres traînent Théo à l’angle d’un mur. Sachant qu’il se trouve hors du champ de la vidéosurveillance, le jeune homme se débat pour revenir devant la caméra afin de prouver les faits et leur dit qu’ils lui ont déchiré son sac.

Théo se retrouve plaqué contre un muret, le bras droit bloqué dans le dos. C’est alors qu’un des policiers lui baisse son pantalon et se sert de sa matraque télescopique :

« Moi j’étais de dos de trois quarts. Je l’ai vu prendre sa matraque et il me l’a enfoncée dans les fesses volontairement », raconte Théo.

La version des policiers

Les policiers patrouillent dans leur voiture. Ils entendent un cri d’alerte, celui des guetteurs qui préviennent les dealers de l’arrivée de la police. Ils décident de pratiquer un contrôle d’identité et encerclent le groupe. L’un des jeunes que les policiers soupçonnent d’être celui qui a donné l’alerte refuse le contrôle d’identité. La tension monte et c’est là que Théo s’interpose :

Les policiers veulent maîtriser Théo. Il se débat, son jogging glisse. Dans le rapport, le policier auteur des coups de matraque affirme avoir visé les jambes « dans l’espoir de lui faire perdre l’équilibre et de l’amener au sol. » La matraque transperce son caleçon et blesse Théo à l’anus sur 10 centimètres.

Concernant l’emploi des gaz lacrymogènes, l’avocat du policier a affirmé au « Parisien » que son client, en tombant avec Théo « a actionné sa gazeuse et s’est gazé lui-même. »

Dans la voiture de fonction

La version de Théo

Embarqué par les policiers, Théo raconte avoir subi des insultes racistes, des propos humiliants et, encore, des coups, au visage, sur les parties intimes :

« Espèce de salope, bamboula. T’as voulu faire le malin, regarde maintenant comment tu es. »

Le jeune homme évoque aussi une photo humiliante prise par les policiers sur l’application Snapchat. Il revient sur les coups reçus alors qu’il est menotté. Selon lui, les policiers ont conscience de ses blessures puisqu’ils se moquent de lui : « Ah, il saigne du fion », tout en riant.

La version des policiers

A propos du transport en voiture, les policiers affirment dans leur rapport que Théo « a continué à [les] insulter, à [leur] cracher dessus ».

Au commissariat

A l’arrivée au commissariat, on lui demande de s’asseoir. Théo explique que ce n’est pas possible tant il souffre. On le fait alors s’allonger sur le sol et il est attaché à un banc. Un policier du commissariat réalise la gravité de la situation et fait appeler les urgences.

 

On n ‘arrête pas le progrès…. On a des missiles qui tirés à des centaines de km atteignent leur cible au cinquantième de mètre et on n’aurait pas des matraques intelligentes, téléguidées qui ne seraient pas capables d’autonomie, au point de ne pas atteindre leur fondement.

Il faut le faire, viser les fesses et traverser le calcif, pour trouver un fondement à son action…. Les matraques sont donc télécommandées, mais par qui?

On n’arrête pas le progrès au bénéfice exclusif des poulets de basse-cour. De l’usage abusif, semble t-il, de la détention d’autorité….

Après la gifle à détenteur d’autorité (bidon, infondée et fictive), c’est maintenant la vengeance du pouvoir à détenteur vrai et abusif équipé de matos guidés par satellites!

 

http://tempsreel.nouvelobs.com/faits-divers/20170209.OBS5100/viol-presume-de-theo-par-un-policier-version-contre-version.html

 

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« Une usine chinoise remplace 90 % des travailleurs par des robots. La production augmente de 250 %, le taux de défaut chute de 80 % !! »

« Une usine chinoise remplace 90 % des travailleurs par des robots. La production augmente de 250 %, le taux de défaut chute de 80 % !! »

 

Comme vous le savez, je suis avec une grande attention les bouleversements du marché du travail liés à l’arrivée massive d’une robotique qui atteint une efficacité décuplée par la convergence des technologies (informatique, intelligence artificielle, technique robotique pure, etc.).

Il y a aussi le fait que la robotique c’est évidemment autant de boulots en moins dans une économie qui ne sait répartir la richesse globalement qu’à travers le travail.

Aujourd’hui, quand on relocalise une usine, aux USA ou en Europe, on relocalise une production mais peu ou pas d’emplois !

Logique car cette relocalisation s’accompagne d’une automatisation à outrance et, désormais, les niveaux de possibilités et de qualité atteints par les nouvelles technologies permettent très clairement de s’affranchir pour l’essentiel des ouvriers.

« Une usine à Dongguan, en Chine, a remplacé la plupart de ses employés par des robots. Le taux de productivité a considérablement augmenté.

Selon Monetary Watch, l’entreprise Changying Precision Technology Company qui assemble des smartphones employait 650 employés. Désormais seules 60 personnes travaillent sur le site. Luo Weiqiang, le directeur général, indique que le nombre d’employés devrait à termes tomber à 20. Foxconn est déjà passé à cette étape l’an passé et avait déjà remplacé 60 000 salariés par des robots. »

Plus inquiétant encore un « rapport de l’université d’Oxford mentionne qu’il y a plus de 90 % de chances que les robots se substituent aux employés d’une longue liste de métiers dont des maçons, des bouchers, des vendeurs au détail, des techniciens géologiques et pétroliers, des horlogers, des secrétaires juridiques, des caissiers, des courtiers immobiliers, des prothésistes dentaires, des cuisiniers. Pour les pharmaciens, bien sûr, cela a déjà commencé »…

Bref, c’est tout le monde du travail qui va se trouver considérablement changé par cette nouvelle révolution, la révolution robotique !

Comment en profiter, comment s’en protéger ?

C’est les deux questions essentielles qui se posent logiquement à nous. Comment en profiter ? En achetant par exemple les actions d’entreprises (c’est encore de la capitalisation. Il est vrai que les robots ne sont pas encore syndicalisés….. ) qui sont très bien positionnées pour en bénéficier. Mais ce n’est là qu’un exemple.

Comment s’en protéger ?

Il y a deux niveaux de réflexion. Le premier c’est à titre collectif et le deuxième, à titre individuel.

À titre collectif, il sera difficile, voire bien entendu impossible, d’éviter ces pertes massives d’emplois. Il faudra inventer de nouvelles formes de répartition et aussi d’occupation, et c’est tout le sens autour du débat concernant le « revenu universel » auquel je suis profondément opposé car ce système fait l’impasse et sur la nécessité d’incitations positives au niveau de la société toute entière mais également sur la nécessité d’avoir un sens à chaque journée, sens qui passe par une activité réelle de production, de création, d’aide de l’autre, peu importe. D’où l’idée que je porte qui est plutôt celle d’un « droit opposable au travail ».

À titre individuel, c’est très différent car en fonction de votre stratégie personnelle, vous pourrez non seulement éviter les écueils de cette « robolution » mais aussi en tirer parti. Tout dépendra de votre façon de vous former et des savoir-faire que vous saurez acquérir. Saurez-vous vous préparer ou au contraire, allez-vous tout subir ?

Il est déjà trop tard. Préparez-vous !

 

Ce sera donc « la semaine des 4 jeudi ». Enfin les promesses deviendront réalités… On aura mit le temps. preuve qu’un jour, les promesses deviennent, enfin réalité. Dans quelques siècles celles des campagnes deviendront réalité… au bénéfice de nos descendants, lointains. La robotisation aura au moins cet avantage…. La réalisation tardive des promesses vieilles de plusieurs mandats présidentiels.

Non les politicards ne mentent jamais. Ils sont simplement trop en avance par rapport à leurs mandats. Preuve que le lien électeur-politicard est faussé »! A quand l’électeur-robotisé et des candidats-robots? L’avantage quand il y a une panne (par obsolescence programmée), on jette…. tout en essayant de récupérer ce qui peut-être recyclé.

 

http://reseauinternational.net/une-usine-chinoise-remplace-90-des-travailleurs-par-des-robots-la-production-augmente-de-250-le-taux-de-defaut-chute-de-80/

 

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Informations : l’indicible porte de sortie

La confiance est rompue entre le public et les journalistes et médias.

 
 

Entre des sources alternatives de qualité très variable et des médias ayant pignon sur rue aux ordres (mais de qui ?), le citoyen lambda qui serait encore soucieux de s’informer est mal loti. Gober la doxa du pouvoir officiel et de ses donneurs d’ordres ? Elle a parfois un goût ranci de Propagandastaffel. Fouiller le maquis du Web à la recherche des infos ? Il s’y trouve le meilleur comme le pire. Rares y sont les sources complètes, homogènes, suffisantes, et rares aussi sont les éditeurs vraiment indépendants.

La confiance est rompue entre le public et les journalistes et médias, les études sociologiques le démontrent : les journalistes côtoient, sur le banc d’infamie de l’opprobre plébéienne, les politiques et les syndicalistes. Cela n’altère en rien l’arrogance de certains d’entre eux qui poursuivent, sous les projecteurs, la diffusion de leur bien-pensance compatible avec les objectifs des propriétaires et des annonceurs. La déontologie n’est, dans la plupart des cas, qu’une variable d’ajustement. Être paranoïaque face à son journal papier, sa télévision, sa radio ou une page Web officielle est donc salutaire et indispensable, mais c’est fatigant, à la longue. Ce n’est guère mieux avec le « dark Web » de la « réinfosphère » et des réseaux sociaux : pléthore de sites, pas de moyens suffisants pour contrôler l’information, et souvent des biais idéologiques qui se manifestent au mépris de la vérité factuelle ou de la rigueur analytique.

Aujourd’hui, pour la presse écrite sur du papier, le citoyen-contribuable (car effectivement on paie 200 millions par an pour aider les médias papier à survivre malgré les matraques publicitaires qui elles aussi  – comme  celle des poulets télécommandées  « fondements » – n’atteignent plus leur cible initiales  – lmes jambes des « récalcitrants » ) doit faire un triste constat : la diffusion payante des médias classiques est très insuffisante pour atteindre le seuil de rentabilité, et les finances publiques pallient cette carence dans des proportions colossales.

Ajoutée à la niche fiscale dont bénéficient les journalistes (tout est fait pour faire manger dans la main de « la voix de son maître »), l’ardoise est lourde. La solution de bon sens apparaît comme évidente : il faut couper toutes les subventions qui relèvent de l’acharnement thérapeutique pour ces pauvres journaux en fin de vie. Et si les journaux se mettent, les uns après les autres, en liquidation judiciaire, tant pis ! De nouveaux titres émergeront, peut-être, qui sauront que l’on juge un arbre à ses fruits.

Des journalistes seraient mis sur la paille avec cette méthode ? Certes. Rien de plus normal. Mais est-ce plus moral de gaspiller de l’argent public pour qu’ils ne soient plus lus que par un lectorat en peau de chagrin, et qu’ils pontifient ad nauseam sans jamais se remettre en cause ? Un journaliste ne devrait jamais pouvoir être fonctionnaire, ces deux statuts devraient être mutuellement exclusifs.

Que faire d’une agence de presse idéologisée comme l’AFP ? Une fois que plus aucun de ses effectifs ne pourra prétendre à un statut relevant du fonctionnariat, une fois transformée en société normale, il faudra, là aussi, trancher dans le vif, soit en vendant s’il se trouve un acquéreur, soit en la laissant faire faillite parce qu’elle n’aura pas réussi à se financer par son activité.

Enfin, pour l’audiovisuel, public ou non, il faudrait qu’un jour les mots dont se gargarisent ces médias (éthique, pluralité, ouverture, neutralité, déontologie) fassent l’objet de contrôles pour de vrai, avec des sanctions qui font mal. Jusqu’à supprimer la concession de fréquence si cela se révèle nécessaire.

L’objectif n’est pas de faire, des journalistes et des médias, des boucs émissaires, mais seulement de constater que l’heure est à la chirurgie, pas à l’homéopathie. Bien-pensance oblige, aucun homme politique qui briguerait un mandat ne peut inscrire cela dans son programme.

 

Le 4éme pouvoir en passe de silence sur ordre. C’est donc silence objectif sur ordonnance. les tenants de ce 4éme d’agonie vont être gâtés Fillon leur promet un train pour son début de carrière…. Car effectivement l’ordonnance est l’impératif qui surpasse le 49-3… Après cela c’est la dictature. Et en dictature, il n’y a plus qu’un orgasme de presse…. Celui du parti pris! Preuve que l’on n’y est pas encore avec les quelques centaines de « médias » financés avec l’argent du peuple…

On inscrira sur sa tombe, « ci-gît un pouvoir de gîte en peau de lapin ». Ce qu’il advient quand on fait peau de balle.

 

 

http://www.bvoltaire.fr/remymahoudeaux/informations-lindicible-porte-de-sortie,312249

 

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«Les enfants de demain», vous invite à plonger dans l’univers fascinant du «Hameau des Buis».

 

On y découvre des témoignages inspirants en plus de diverses alternatives concrètes pour assurer un environnement vert et humain aux générations futures.

 

Le Hameau des Buis s’inscrit dans la continuité de La ferme des enfants, porté par un désir collectif d’incarner le changement afin de participer à créer une société plus écologique et humaine développé par l’association La Ferme des enfants depuis 2001, cette oasis de vie comporte une cinquantaine d’habitants de 3 à 84 ans, un centre de formation, 80 élèves de la maternelle au collège, une ferme, une boulangerie…

Le Hameau des Buis est un écovillage fondé par Sophie Rabhi, la fille de Pierre Rabhi. L’idée du projet : permettre à des enfants d’observer des adultes qui évoluent dans le «vivre ensemble» . Dans cet écovillage, on y retrouve «La ferme des enfants», une école qui propose une éducation basée sur des valeurs humaines. Puisque les enfants sont le futur de nos sociétés, la philosophie de cette école, fondée en 1999, invite les plus jeunes à croire en une société qui offre l’émancipation de ses membres dans un environnement sain à tous les niveaux. Selon ses créateurs, «La ferme des enfants» permet dès le plus jeune âge une implication citoyenne en proposant concrètement une alternative écologique et sociale qui, certainement, fait fleurir l’espoir de demain dans quelques petites têtes !

 

Quand cela fera t-il école? Tout bouge, partout et en tout. Quelle bouffée d’oxygène…. Bientôt les politicards vont devoir se reconvertir en écolo-sociétaux. Il, n’est que temps. Quand le peuple se prendra en main, le politicard se reconvertira en simple usager obéissant aux lois qu’il aura instaurées (il sera bien le seul, alors). Mais le peuple bon prince, lui tendra la main pour l’aider à se reconvertir.

Qu’en pensez-vous?

 

https://bonnesnouvellesinfo.wordpress.com/2016/05/19/les-enfants-de-demain/

 

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Les présidentielles, comme si vous y étiez et quoique l’on en dise ou pas :

  1. E-goth de campagne (des députés d’active, et/ou au gouvernement.org, voulant être calife en lieu et place d’un cap’tain défunt et défaut) : vrp-fillon-f-ump (ses premiers maux) et http://wp.me/p4Im0Q-1nR (ses derniers mots, incapable…..s)
  2. La primaire des législatives (individus et partis) ou scoring « députés » (pour Peuple dépité)
  3. « Projet de loi citoyen » (et non « proposition de loi ». Ce qui met le citoyen à égalité avec le  pouvoir, qui dépend de lui!) – http://wp.me/p4Im0Q-141

en savoir plus, beaucoup plus :il-etait-une-fois-2017

La guerre des vieux jeunes premiers (en finale de lutte) :

  1. Fillon fillon-putatif   et fiche-transparency-fillon
  2. Valls – valls-putatif    Exit Valls, place à Hamon…. il va nous faire le coup de tous-en-Khamon

Bientôt il ne va plus rester que Hamon (mais restera t-il vraiment s’il est le seul à oser….?)! Faut-il, dès lors voter s’il est le seul compétiteur? – 14 – Patrimoine 2014 – Benoit Hamon

 

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« Projet de loi citoyen » (et non « proposition de loi ». Ce qui met le citoyen à égalité avec le  pouvoir, qui dépend de lui!) de la « dé-professionnalisation du mandat électif » (ou « quand le tirage au sort remplacera la ripoublique…. » ). Dans la mesure de l’esprit initial de « Nuit debout »…. du « ni partis, ni syndicats »  :    http://wp.me/p4Im0Q-141

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FIN de la une DU JOUR

Fin de l’article de « La Une de keg » du jour. Merci de l’avoir lu et de vos commentaires. Les différents tableaux joints et à découvrir, vous ont-il éclairé, surtout en ce qui concerne les élections en prévision de décembre 2015 et au delà?
Ce qui suit ne concerne que quelques infos en attente de réutilisation (en vrai dépotoir, bric à brac, de brique et de broc), où vous pouvez puiser, à vos risques et périls garantis.

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  • Dans quel état gère, en urgence la socia-lie : 14/11/2015 – 26/02/2016 – 26/05/2016 – 26/07/2016  – 26/01/2017 –  13/12/2016   160719 – nuit de létat en urgence prolongée  –  (…     05/07/201 7= la sortie de l’état normal (une mesure qui dure devient la norme) pour devenir autre et sans en dire le nom. Cazeneuve promu premier ministre a devancé l’avenir en faisant voter, au 13/12/2016, une prolongation anticipée, de 3 mois supplémentaires jusqu’au 15/06/2017 (entre les deux tours des législatives et sans possibilité de modifier quoique ce soit et pour qui que ce soit)
  • Dernière nouvelle. Le pouvoir s’affole et n’attend pas l’échéance programmée du 26/01/2016. Cazeneuve, à peine promu 1er ministre, fait voter . Quelle fin de mandat pitoyable…. avec un état en urgence d’impossibilité à se réformer… et demain ne s’annonce guère mieux : http://wp.me/p4Im0Q-1nR . Il ne craint pas la rue et dit merci à Fillon : https://www.legifrance.gouv.fr/jo_pdf.do?numJO=0&dateJO=20110701&numTexte=17&pageDebut=11269&pageFin=11270  paru en Juillet 2011

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L’état en son urgence…….. du 14/11/2015  (lendemain du Vendredi 13, réputé jour de chance… Pour qui?) au :

(partie visible de l’ice-berg appelée à disparaître, dès la levée de l’embargo liberticide, à usage, exclusif, des seules libertés des citoyens et non  des terroristes…qui s’en battent l’œil La preuve par Nice.)

État d’urgence ordinaire et « normale » : 

Prochaine échéance au 26 Juillet 2016 (et de 4 dont 3 mi temps supplémentaires). Tous les rassemblements interdits (cultes, meetings politiques, match de sport, réunions syndicales, manifs, réunion de plus de 3 personnes, marchés de plein air, marchés publics, attentes aux guichets – Sécu, gares, aéroports, files d’alimentation – achats en grandes surface, queues aux cinés, concerts, …., défilés du 14 juillet, commémorations, « nuit debout »). Rendez-vous donc à la prochaine prolongation…. au 26/07/2016! Il y aura une trêve estivale – pour reprendre lors de la rentrée scolaire. Les terroristes respectent le calendrier scolaire (et solaire)! Dernière nouvelle : la Belgique n’est toujours pas en état d’urgence…. Surprenant! Prolongation, avant la date de fin, et à nouveau pour 6 mois jusqu’à l’installation du nouveau pouvoir (Acte 1 de Cazeneuve, nouveau premier ministre….)

Grenoble : une fresque de street art jugée anti-flic provoque un tollé
L’oeuvre « L’Etat matraquant la liberté » créée par l’artiste Goin, dans le cadre du festival de street art subventionné par la ville de Grenoble. (Capture d’écran/ France 3 Alpes)
 Il paraît que l’état majore son urgence de deux  six mois. …… voir :  « Etat d’urgence ordinaire et normale » (plus bas)
un pays qui se « dictatorise (*) » (au nom d’un pseudo « terrorisme » – non et/ou très mal défini) et surtout qui laisse faire, avec la complicité de ses politicards et l’immobilisme de sa population ne peut revendiquer être le pays flambeau des Lumières et se ravale au rang de ses « ennemis » ou supposés. (tant que dure l’état d’urgence. ….. qui ne se presse pas pour partir si on en croit les rumeurs)
Gandhi
 Oser dire « NON », en votant blanc, tant que l’on n’a que des non-choix, c’est déjà être debout (et pas seulement la nuit). Il n’est que temps, déjà, en 2017!

Et s’il ne manquait que 509 députés! (un tout petit peu plus de 88%  de dédain du problème. Ils sont libres, eux!)
Il en va de la liberté du Peuple, quand même, qu’ils représenteraient!
Il est vrai que c’est tellement banal qu’un état d’urgence…..
  • Ils étaient 80 pour s’opposer en 1940…. ! sans être ripoux
  • Combien seront-ils pour la prolongation au delà du 26/07/2016? (26 ont refusé et 489 ont voté la prolongation améliorée, soit 6 mois – )  160719 – nuit de létat en urgence prolongée
  • Combien seront-ils pour celle au delà du 26/01/2017?

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Un jour, ils oserons nous demander (à droite, comme à gauche), par référendum, si nous voulons mettre fin à cet état d’urgence, que nous n’avons jamais voulu et encore moins demandé!
(l’urgence de l’état c’est l’état d’urgence. L’urgence du peuple c’est de virer tous les urgentistes…..  2 Programmes diamétralement opposés)

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De la constitution de l’état d’urgence abusif :

Article 21 Préambule de la constitution :
    • « Quand le gouvernement viole les libertés et les droits garantis par la constitution (état d’urgence prolongé et reprolongé!) , la résistance sous toutes ses formes est le plus sacré des droits et le plus impérieux des devoirs. »
  • (En l’an I, on parlait d’insurrection et non de résistance et d’armer cette révolution-citoyenne). Où en sommes nous? Et bien sûr cela ne concerne que le Peuple, pour le Peuple et avec le Peuple! et non les ersatz du pouvoir
en contradiction avec : https://www.legifrance.gouv.fr/affichTexte.do?cidTexte=JORFTEXT000000695350

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  • En France (en fin de règne, de Mars 2016 à ….. ) , on progresse! On rétablit la ferme générale en ce qui concerne la détection-radariste…. On vend la charge au privé…… Le privé va donc acheter la charge d’alimenter le budget amende de conduite et à lui de se démerder pour rentrer dans ses frais de charge et sans oublier sa marge, non d’erreur (dont il n’a que faire) mais de bénéfice. Car le privé n’est pas l’état il n’a pas le souci de déficit, son seul étant celui du profit +. Effectivement le changement c’est maintenant et ici…..

A lire impérativement, pour mieux comprendre ce qui nous arrive : « Al Qaïda en France » de Samuel Laurent et ce que l’on va devoir supporter. Vous y apprendrez que les djihadistes se fondent dans la foule (ils fument, boivent, se droguent – en contradiction volontaire et « autorisée »  par leurs chefs -, présentent bien….. ont parfois des situations au top)…. jusqu’au jour où on les réveille et alors quel Bataclan!
Preuve que les lois d’exception ne concernent nullement les terroristes, excepté quand ce sont des citoyens (mono ou bi) nationaux qui expriment leur mécontentement. Les terroristes les vrais frapperont où ils voudront et quand ils voudront. Que voulez vous, réellement, opposer à leur déterminisme? Leur nationalité française? Il faut être naïf pour croire aux lois liberticides, soit disant pour contrer le terrorisme…..
Et pour inciter à rester…. coi : http://www.directmatin.fr/monde/2016-01-14/daesh-brule-vivants-ses-membres-qui-ont-fui-ramadi-720362 jusqu’au bout (ou quoi)

 …. au 15/07/2017 – et Valls corollaire du 49-3, citoyen, pour passer 2017, en force…..

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Une sélection  de digests :

  • Vote blanc, expression du refus de non-choix
  • La non- imposition imposée en imposture
  • La Dhimmitude à refaire naître
  • A-faire « Charlie-Hebdo
  • Boites à Malices
  • autorisation de représailles à balles tueuses- « Ultima Ratio »
  • « Pupilles de la Nation non juifs » – discriminés
  • le référendum -migratoire, anti-Schengen
  • en Régionales de 2015 –R15-analyse
  • la non valeur des signatures politiques  – signature-bidon
  • de tout et de rien dans notre atmosphère, je vous assure cousin il l’a dit :  Vrac160101
  • Pan AM et après : Fin du bordel à Panama : Fin du Panama
  • A venir : la primaire, la levée des urgences,…. le scoring des députés (élire ou réélire des impuissants à protéger le peuple)…

Prêt à ressortir à la moindre alerte et avis de tempêtes…… et surtout en période exceptionnelle des urgences